top of page

CHRONIQUE / REVIEW

magnum

live at the symphony hall

MAGNUM.jpg

Releases information

Release date: January 18, 2019

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: Steamhammer - SPV

From: Royaume-Uni / UK

8,3

Philippe André - February 2019

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Si toutefois il existe dans le monde de la musique, pas seulement progressive, un formidable groupe méconnu, c'est bien le quintet britannique MAGNUM, qui déplace partout dans le monde une vaste cohorte de fans irréductibles (évidemment il y a là, quelques références linguistiques à ASTERIX).  Nous avons entre les oreilles le concert terminal du 19 avril 2018, point d'orgue d'une tournée de quarante-deux dates, un spectacle enregistré au Symphony Hall de BIRMINGHAM, ville dont le groupe est originaire et où évidemment il a régné ce soir-là une atmosphère spéciale de par l'enjeu de réussir cette prestation live « à la maison »!  Comme je ne suis pas moi-même un fan irréductible du « live » d'une manière générale, même si j'admets qu'il est indispensable aux groupes de se produire en public, je me contenterais de vous signaler ici mes coups de coeur sur cette prestation « magnumesque » enregistrée donc à BIRMINGHAM et qui bénéficie d'une prise de son XXL ce qui n'est pas la moindre des qualités de ce double témoignage « at home ».

 

Ça démarre sec et brillamment avec « When We Were Younger » morceau d'ouverture du très bon « Princess Alice and the Broken Arrow » de 2007, ce que l'on appelle un hymne en version live, idéal pour chauffer une salle.  Grand moment ensuite avec la pièce éponyme du dernier album studio en date « Lost on the Road to Eternity » déjà commenté sur profilprog.com l'an dernier, avec la participation du puissant chanteur d'EDGUY, Tobias SAMMETT, donc imaginez SAMMETT + CATLEY, ça décoiffe évidemment, le public est aux anges et à l'unisson avec MAGNUM.  Citons ensuite « Without Love » que j'avais pourtant modérément apprécié sur le dernier opus studio, peut-être la répétition des écoutes?  S'en vient le bien meilleur « Peaches and Cream » pièce d'ouverture de « Lost Road », là encore un must pour le public présent, ce que l'on appelle un moment fort (comme j'aime à le dire parfois, ça déboule ma poule).  Le premier acte se termine par ce qui est pour votre serviteur le meilleur titre de toute la carrière de MAGNUM (rappel : dix-neuf albums studio en quarante années de carrière), le somptueux « How Far Jerusalem » qui ouvrait en 1985 le non moins somptueux « On a Storyteller's Night » et ici Tony CLARKIN s'en donne à coeur joie avec une pièce d'origine allongée de presque quatre minutes.

 

L'acte deux débute par une pièce du même album précité avec le remarquable là aussi « Les Morts Dansant », un incontournable de la carrière de la formation britannique, encore une pièce maitresse prog-rock peut-on dire, où le piano de Rick BENTON fait des merveilles comme le faisait celui de Mark STANWAY sur la pièce originale; ce piano « liquide » qui illumine aussi « Show Me Your Hands », extrait aussi du dernier opus studio, un titre un peu répétitif mais tellement bon en live!  Ventre mou ensuite avec deux titres que je n'appréciais pas en studio et que je n'apprécie pas plus en public, puis « Don't Wake the Lion » l'épique de l'album « Wings of Heaven » de 1988 dans une version, fort décevante ici malgré une belle partie introductive, qui a gagné en énergie mais a énormément perdu en symphonisme.  Il nous reste l'incontournable perle de « Chase the Dragon », troisième album du groupe en 1982, le bien nommé « The Spirit » un morceau immortel que l'on soit fan ou pas; le final « When the World Comes Down » tiré de l'album « Vigilante » ne restera pas lui non plus dans les annales malgré le retour aux vocaux dédoublés de mister SAMMETT, très bon pour conclure une prestation live néanmoins avec une foule conquise et à l'unisson.  Un album en public à connaitre mais à réserver aux vrais supporters du groupe de BIRMINGHAM.

 

PISTES / TRACKS

 

CD1

1. When We Were Younger 8:00

2. Sacred Blood 'Divine' Lies 6:28

3. Lost on the Road to Eternity 6:11

4. Crazy Old Mothers 5:35

5. Without Love 6:14

6. Your Dreams Won't Die 5:42

7. Peaches and Cream 5:09

8. How Far Jerusalem 10:46

 

CD2

1. Les Morts Dansant 5:46

2. Show Me Your Hands 5:52

3. All England's Eyes 4:48

4. Vigilante 5:24

5. Don't Wake the Lion (Too Old to Die

Young) 11:43

6. The Spirit 4:30

7. When the World Comes Down 6:11

Musiciens / MUSICIANS :

 

Tony Clarkin - Guitars

Bob Catley - Vocals

Rick Benton - Keyboards

Al Barrow - Bass

Lee Morris – Drums

bottom of page