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CHRONIQUE / REVIEW

daniel tompkins

castles

DANIEL TOMPKINS.jpg

Releases information

Release date: May 31, 2019

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: KScope

From: Royaume-Uni / UK

9,3

Marc Thibeault - July 2019

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Chanteur du groupe TESSERACT depuis les premiers albums (le premier étant un EP sorti en 2007) ainsi que pour le groupe WHITE MOTH/BLACK BUTTERFLY, Daniel TOMPKINS nous présente ici son premier album solo “Castles”. Ne vous attendez pas à un album qui sonne comme TESSERACT. C’est plus un mélange d’airs mélodieux avec des ressemblances à LUNATIC SOUL, le doux côté de PINEAPPLE THIEF ou même LONELY ROBOT. Le concept de l’album repose sur l’arc des relations : erreurs tragiques, erreurs de jugement de caractère et l’amour victorieux et passionné. Très axé sur les émotions ressenties lors de ces relations, on a ici un album plein d’intensité.

 

La splendide pièce “Saved“ débute avec intensité l’album : avec cinq notes de synthétiseur qui servent de fil conducteur et qui donnent un contretemps à saveur un peu mystérieuse, la voix colorée de TOMPKINS domine et nous entraine avec elle. Le refrain chanté en “duo” avec lui-même est envoutant et reste accroché comme un ver d’oreille. Vient ensuite “Black The Sun”, me rappelant LONELY ROBOT avec sa musique un peu Space ou même un peu RIVERSIDE ou LUNATIC SOUL et son côté éthéré. Le refrain est ici intense alors que le reste de la pièce est plus doux et calme, créant un contraste assez frappant et agréable à l’écoute.  La pièce-titre “Castles”, avec son beat Techno, me fait penser aussi aux pièces du dernier album de LONELY ROBOT.  “Kiss” est aussi sur un beat Techno mais plus lent, plus lourd et agressif.  La musique est légèrement envoutante et a aussi une aura un peu mystérieuse.

  

Avec ses trois notes qui donnent une sensation d’impuissance, “Limitless” est une pièce qui mélange l’Electro avec un style plus Pop et un peu noir en même temps. Les bouts plus doux de “Cinders” ressemblent à la pièce “The Signal” de LONELY ROBOT. Le refrain, lui, est plus intense, autant musicalement qu’en volume et TOMPKINS y chante avec passion.  “Telegraph” aurait pu être une pièce du groupe PINEAPPLE THIEF tant le style musical et le chant de Daniel TOMPKINS est ressemblant, surtout lors du refrain.  Le bout plus “Classique” dans la pièce rajoute une touche originale. Cette jolie chanson clôt la série de nouvelles pièces. Il y a ensuite 6 pièces qui sont des versions différentes de celles entendues sur l’album : “Saved” (3 versions),  “Black The Sun”,  “Limitless” & “Kiss”. Sans vraiment rehausser la qualité de l’album, ces pièces nous montrent plutôt une autre “facette” des pièces qui modifient du même coup l’émotion ressentie en l’écoutant.

  

Un excellent album, à cheval entre le Prog-Pop et le Prog-Rock, chaque pièce ayant une touche de mélancolie ou de tristesse.  Il reste quand même très agréable à l’écoute et, avec la voix de Daniel TOMPKINS axée sur les émotions reliées à chaque pièce, l’album nous séduit par son charme.

 

PISTES / TRACKS

​

  1. Saved [04:19]

  2. Black The Sun [05:56]

  3. Castles [05:08]

  4. Kiss [04:41]

  5. Limitless [04:30]

  6. Cinders [05:49]

  7. Telegraph [04:36]

  8. Black The Sun (Head Rework) [05:37]

  9. Limitless (feat. Dmitry Stepanov) [04:51]

  10. Kiss (feat. Randy Slaugh) [04:12]

  11. Saved (feat. Acle Kahney) [03:36]

  12. Saved (feat. Paul Ortiz) [03:50]

  13. Saved (feat. Randy Slaugh) [03:33]

Musiciens / MUSICIANS :

 

Daniel TOMPKINS - Voice

Acle KAHNEY – Guitars (Guest)

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