CHRONIQUE / REVIEW
TDW DREAMWALKERS INC
THE ANTITHETIC AFFILIATION
Releases information
Release date: May 29, 2017
Format: Digital, 2CD, DVD
Label: Layered Reality Productions
From: Pays-Bas / Netherlands
9,0
Richard Hawey - February 2018
TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !
CHRONIQUE / REVIEW
CD
Je n’ai jamais eu le privilège d’écouter et encore moins d’écrire sur TDW. Avec quelques mois de retards j’ai maintenant l’occasion de le faire. Avant d’aller plus loin voici quelques notes biographiques sur cette formation. On commence avec ces lettres TDW, elles sont un acronyme de Tom De WIT, leader, compositeur et multiinstrumentiste. Ce projet est né au début des années 2000 alors que TDW eu l’idée de créer une formation où les influences musicales seraient diverses, pensez à Dream Theater, Toto, Symphony X, Genesis et naturellement Pink Floyd. À la base la philosophie de cette entité est "l’expression pure par des formes artistiques multiples". Cette description semble vague, mais elle symbolise l’attitude principale qui est derrière ce projet. TDW DREAMWALKERS INC c’est une expérience musicale et visuelle totale qui s’efforce de communiquer l’émotion avec n’importe quel véhicule artistique. Le DREAMWALKERS INC est une association de musiciens car Tom désirait avoir un groupe composé de plusieurs musiciens, ceci dans le but de concrétiser ses idées. À ce jour TDW a publié six albums, et « The Antithetic Affiliation », le dernier est sorti en mai 2017.
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Après la première écoute j'ai fut agréablement surpris! Plusieurs éléments sont agréables à mes oreilles car malgré le fait que cet album soit catalogué métal progressif et que l’on y entend beaucoup de sons lourds, le tout reste cependant très mélodique. Les compositions sont concentrées sur la musicalité au lieu de la technicité, le terme progressif est employé ici dans un sens large en raison de la thématique mais aussi en raison des divers changements de direction.
Les titres des disques (The Light and The Dark) se réfèrent à l'histoire plutôt qu’à la musique, alors il ne faut pas s’attendre à un disque plus lourd que l’autre. En fait, je pense que « The Light » est en fait un peu plus lourd que « The Dark » ce dernier étant plus symphonique. Il y a beaucoup de paroles, c'est évident, l'histoire est importante. Toutefois avec des pistes de cette longueurs il y a encore assez d'espace pour les sections instrumentales. Pas seulement en solo, mais aussi en multicouches, des murs de son symphoniques. En ce qui concerne les deux épiques j'avais quelques doutes au début. Ne sont-ils pas trop longs? Est-ce que s’il y avait eu des divisions à l’intérieur de ces deux suites le tout aurait mieux passer? Je crois que non, mais il m’a fallu plusieurs écoutes pour que l’ensemble soit mieux apprivoisé. Et ici je vous précise que si vous voulez suivre l’histoire il faut approcher « The Antithetic Affiliation » dans sa totalité au lieu de pièce par pièce. Ce qui n’empêche pas l’auditeur d’y aller à sa guise. De toute façon il est assez difficile de choisir une chanson plutôt qu’un autre mais si vous voulez gouter à du TDW commencé tout de suite avec « The More We Remember » sur « The Light », cette entrée en matière vous donnera tout de suite l’allure du projet. Tout y est, une introduction en douceur avec le piano et le violon qui accompagne les murmures de Tom. Puis c’est parti dans un rythme endiablé qui accueille maintenant le chant. Ne vous en faite pas, il y a des moments plus calmes, mais on en redemande et c’est reparti de plus belle. « Anthem » ne vous donne aucune seconde de préparation avec ses synthés et les accords de guitare à la rentre dedans. « Lovesong » porte son nom, avec guitare acoustique et de belles harmonies. La dernière chanson du premier CD nous ramène à une rythmique plus posée, les percussions y sont dominantes avec violon et claviers. Les riffs lourds de la guitare reviennent pour bien appuyés la composition. Vous vous souvenez, j’ai écrit que le second album était plus symphonique et bien avec l’ouverture de « The Descent » l’auteur me fait un peu mentir car ça rentre au poste mais malgré cela ça passe super bien. « Aphrodisia » débute doucement mais elle est aussi bien musclée, les divers changements de directions gardent l’auditeur sur le qui-vive. « Dirge » est le moment plus calme de ce second CD. On finit avec « Lest We Forget », l’autre longue chanson. Pour la résumer, elle est construite dans la même veine que « The More We Remember ».
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Bien que mes préférences n’aillent pas nécessairement vers le prog métal, je me suis laissé séduire par cette musique. Les comparaisons sont difficiles surtout que mes références sont assez limitées et j’ai souvent l’impression que ces rapprochements ou comparaisons sont plutôt illusoires. TDW offre une musique lourde et progressive, et si j’ai à donner une référence j’irais avec Ayreon surtout en raison du style opéra rock. Je vous recommande cet album, vous aurez de quoi passer de bons moments à découvrir l’univers de Tom De WIT et de ses compères. Dernier point, il est triste que cette production soit entrée avec plusieurs mois de retard car elle aurait fait partie du top 15 de plusieurs d’entre nous.
PISTES / TRACKS
CD 1 (The Idealist - The Light):
1.- The More We Remember (22:38)
2.- Anthem (6:36)
3.- Lovesong (4:34)
4.- Monolith - The Ascent (7:10)
CD 2 (The Cynic - The Dark):
1.- Monolith - The Descent (7:07)
2.- Aphrodisia (8:19)
3.- Dirge (4:41)
4.- Lest We Forget (23:16)
Bonus DVD (An Acoustic Night At The Chapel - Live at PPE 2016
Musiciens / MUSICIANS :
Tom de Wit / Vocals, Guitars, Synths
Lennert Kemper / Guitars, Vocals
Norbert Veenbrink / Guitars
Joey Klerkx / Guitars
Hanna van Gorcum / Violin
Vincent Reuling / Synths
Peter den Bakker / Bass
Kenneth Martens / Drums