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CHRONIQUE / REVIEW

dream ocean

lost love symphony

Releases information

Release date: February 22, 2018

Format: Digital, CD

Label: Painted Bass Records

From: Allemagne-Turquie / Germany/Turkey

7,9

Richard Hawey - April 2018

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Le groupe de métal symphonique DREAM OCEAN a été formé en 2009 par la mezzo-soprano BaÅŸak Ylva CEBER et le guitariste Oz KHAN. Ce groupe d'origine turque est bien connu dans leur patrie où ils ont effectué de nombreux concerts, de plus ils ont publié un premier EP, « Daydreamer » en 2012. Depuis cet EP, plusieurs changements importants se sont produits. Tout d'abord, le groupe a déménagé en Allemagne, plus précisément à Cologne, et l'ensemble du groupe – à l'exception de la chanteuse BaÅŸak Ylva CEBER et du guitariste Oz KHAN – ont été remplacé. La musique a également reçu plus de puissance. Le caractère symphonique est devenu plus fort et l'interprétation orchestrale est mieux arrangée.

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Étant donné que je ne connaissais pas le groupe depuis ses débuts je n’ai pas été en mesure de comparer l’avant et le maintenant. Disons que mon premier constat est que l’album sonne très professionnel, c’est certainement dû au travail sur l’orchestration de Joost van den BROEK et Ruben WIJGA. Grâce au son intense de la guitare, et d’une section rythmique très solide, la musique peut être décrite comme du Power Métal, mais dans un cadre plus symphonique grâce à l’éventail de voix de Ylva. Le chant de cette dernière est frappant et prédominant sur l'album. On peut lire qu’elle a suivi des cours de chant au Conservatoire d'Istanbul, des études à l'école secondaire de musique et de danse à Cologne, elle est aussi active en tant que pigiste dans plusieurs récitals.

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Bien que les voix jouent un rôle de premier plan sur l'album, il y a suffisamment d'espace pour les parties instrumentales. En particulier, les solos de guitare d'Oz KHAN qui ornent régulièrement les chansons. Sur « Divine Light » qui nous offre un répit, le solo de guitare de KHAN vient changer le rythme de la pièce. Dans le plus lourd, il y a « Wolfheart » où nous sommes laissés entre le doigté énergique de KHAN.

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Si l’album parait quelquefois prévisible, il correspond aux critères attendus d'un groupe de métal, et il y a assez de variation pour ne pas être monotone. « Everstorm » a le caractère symphonique d’un conte de fées que nous avons appris à connaitre avec Nightwish, par exemple. « Forever », grâce au duo avec Jake E (Cyhra et Amaranthe), est une chanson forte up-tempo qui se rappelle occasionnellement à nos souvenirs. « Never Enough » est une des chansons les plus dures de l'album, ceci grâce aux grondements vocaux de Mark JANSEN (Epica, Mayan). D’ailleurs le jeu de JANSEN nous présente un contraste frappant avec la belle voix de Ylva, la batterie est ferme et nous entendons régulièrement un solo de guitare super-rapide s’insérer sur ce titre.

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Depuis quelques années déjà Painted Bass Records nous présente des groupes métalliques avec un chant féminin. Cette tendance se concrétise de plus en plus d’ailleurs, ce qui n’est pas négatif en soi, bien au contraire. DREAM OCEAN existe depuis neuf ans, le groupe Allemand/Turque a finalement livré un premier album. Et je ne peux que dire bravo car même si ce style n’est celui que j’apprécie le plus, j’ai passé un agréable moment à l’écoute de « Lost Love Symphony ». Le résultat est un must pour les amateurs du genre.

 

PISTES / TRACKS

 

  1. Inception (1:56)

  2. Beyond The Greed (6:10)

  3. Hain (4:52)

  4. Everstorm (4:12)

  5. Forever (5:45)

  6. Divine Light4:50)

  7. The Last Dance (5:14)

  8. Somewhere Untouched (6:18)

  9. Wolfheart (5:56)

  10. Never Enough (6:27)

  11. Song To The Aurora (3:15)

  12. Island Of Dreams (9:46)

Musiciens / MUSICIANS :

 

Basak Ylva Ceber - vocals
Oz Khan - guitar
Borna Matosic - guitar
Sebastian Heuckmann - bass
Nils Kessen - drums
Sebastian Plueck - keyboards

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