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CHRONIQUE / REVIEW

deafening opera

let silence fall

Releases information

Release date: March 17, 2018

Format: Digital, CD

Label: Recordjet

From: Deutschland-France

9,3

Alain Massard - April 2018

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Groupe connu il y a quelque temps qui m’avait laissé un sentiment partagé sur BLUEPRINT de par de bonnes idées, mais pas assez mises en valeur un peu trop fouillis dirais-je! Voilà, ça c’était avant! Alors, quand je vois cet album en nouveauté, je me dis tiens, allons-y sans retenue et écoutons pour se faire une idée!

Et là, la grosse claque!

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J’ai immédiatement été séduit, et aux écoutes suivantes mon enthousiasme s’est conforté dans ma première impression! Alors j’ai envie de vous faire vivre mon émotion un peu comme en 1995 avec la sortie du 1er ARENA, un peu comme en 2005 avec le 1er RIVERSIDE, un peu comme en 1992 avec  FAITH NO MORE, un peu comme ETERNITY X en 1997, un peu comme GENESIS en 1973 avec “Selling”, un peu aussi comme SYLVAN’S en 2006 et un peu comme DEAFENING OPERA en 2018!

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Au niveau groupes repères, j’ai pensé à ETERNITY X à SAVIOUR MACHINE pour le phrasé, à COLLAGE pour ces envolées de synthés rehaussés par une guitare stratosphérique. À PINK FLOYD pour certains accords de voix, SYLVAN’S pour les enchaînements mélodiques et les ramifications enjouées que l’on peut trouver dans leurs compositions. À MYSTERY pour le symphoniste de fond, FAITH NO MORE pour la voix travaillée (qui passe allégrement du phrasé  monolithique à la voix puissante, puis “néo-2010”!), un peu de THRESHOLD et d’ECHOLYN aussi!

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Bref, cet album m’a scotché sur tous les points, sur l’intro: 2 en faites, avec démarrage au piano space avec des synthés bien gras et symphonique à souhait dès le 2e enchaînement. Avec une rythmique néo-prog bien posée sur “down the river” et son orgue en fin de morceau du plus bel effet avec une fin d’opéra innovante sur “amber light” le tout sur une base piano me rappelant là aussi les meilleurs titres d’ETERNITY X, un solo de guitare bluffant d’ingéniosité avec une montée en puissance sur les trois titres suivants. Soutenus par une voix plus agressive avec des choeurs à la PINK FLOYD (version psychédélique) et  surtout des breaks ingénieux en plein coeur des titres avec solos divers que je vous laisserai le plaisir de décortiquer vous-mêmes!

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Une ballade sur “as night…” (La ballade souvent critiquée dans un album de métal) bien placée pour se reposer un peu avant et il faut le dire qui remet le son à un niveau plus néo à nouveau! Enchaînez et partir en voiture sur l’autoroute dès “man and machine” sur les 3 derniers titres déjà!! Lorgnant maintenant sur du métal prog du plus bel effet mais n’hésitant pas à revenir sur des tempos plus lents au fil de la chanson (pour info, là j’ai entendu Mr Labrie tellement la voix douce m’y a fait penser!), mais non c’était bien celle de Adrian !

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Pour cette fin d’album, ”plus ultra” vient clore ce CD avec un melting-pot de ce que l’on peut espérer avoir dans un concept album tant au niveau longueur de chanson que breaks, solos enchaînés tel celui à 3’45” ressemblant de loin à une envolée gilmouriesque ou mooriesque!

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Bref, cet album a un son propre, celui de DEAFENING OPERA, un son jeune, récent et innovant qui ne demande qu’à être écouté en boucle comme au temps … où on avait le temps!

 

PISTES / TRACKS

 

1. Prologue                           (1:22)
2. Deafening Overture          (2:45)
3. Down The River                (7:47)
4. Amber Light                      (6:23)
5. The Tempest                    (7:50)
6. Sundown                          (6:29)
7. Sweet Silence                   (7:44)
8. As Night and Day Collide (3:34)
9. Man and Machine             (6:37)
10. At the Edge                    (7:19)
11. Plus Ultra                       (12:32)

Total Time 70:22

Musiciens / MUSICIANS :

 

- Moritz Kunkel : Guitars
- Thomas Moser : Guitars
- Christian Eckstein : Bass
- Adrian Daleore : Vocals
- Konrad Gonschorek : Drums
- Gérald Marie : Keyboards

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