CHRONIQUE / REVIEW
birzer bandana
of course it must be
Releases information
Release date: January 17, 2018
Format: Digital
Label: Auto-Production / Self Released
From: Royaume Uni / UK
7,7
Gerald Hawey - February 2018
TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !
CHRONIQUE / REVIEW
CD
L’année dernière nous vous avions présenté l’album «Becoming One » de BIRZER BANDANA sur notre site (*Voir juillet 2017). Toujours associé à Brad BIRZER pour les textes, Dave BANDANA nous propose son nouvel album « Of Course It Must Be.
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Gardant le même cap musical que son album précédent la musique de BIRZER BANDANA reste sobre et mélodieux avec de très belle atmosphère aux claviers incluant de très beaux moments au Mellotron et le violon d’Olga KENT toujours présent qui rend le tout majestueux ! L’album respire dans le sens que rien n’est chargé passant des riffs de guitare acoustique, aux claviers (synthétiseur & Mellotron), violon etc…tout en douceur. Les titres progressent tout doucement laissant place à chaque instrument de bien se définir et d’y apporter sa couleur musicale. C’est sur un fond musical planant très space que le premier titre s’ouvre tout doucement avec ‘Adrift’ et vers la 4ème min. musique devient un peu plus rythmé avec l’arrivée du violon et de la batterie programmée qui n’aide pas le titre qui est pourtant une belle entrée en matière. C’est suivi de ‘The Void’ restant dans le même moule et vers la 6ème minute l’ambiance change avec l’introduction du piano et du violon qui réussit toujours à créer de très beau moment savoureux tout au long de ce disque! Le chant de Dave DANDANA arrivant de l’espace et avec une finale piano & Mellotron pour clôturer ce titre. ‘View’ qui est ma préférée me fait penser à ‘Entangled’ de Genesis avec les synthés, Mellotron et la guitare acoustique. Très belle !! Lors de la chronique de l’album de que j’avais faite l’an dernier, je mentionnais le fait que le seul point faible était l’utilisation de la batterie programmée. Ici sur ce nouvel opus et bien on ne le ressent moins, c’est plus dans les moments rythmés que l’utilisation de la batterie électronique devient un peu agaçant à l’oreille et c’est surtout les 2 premiers titres. Elle n’aide pas et sans nous faire nécessairement décrocher, ces passages musicaux sont moins fort tout simplement. Mais elle est beaucoup moins présente que l’album précédent. Le chant de Dave BANDANA qui est similaire à Guy MANNING (Damanek) ce fond très bien dans la musique et devient un instrument à travers cette ambiance spatiale.
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La deuxième partie de l’album à l’exception de ‘Yes’ est sensiblement du même style avec des ambiances sonores planantes. Pour ce qui est de l’avant dernière pièce ‘Yes’ premièrement ce sont plus les guitares qui prennent la place que ce soit de façon acoustique où électrique, un titre qui casse le beat que nous retrouvons en général sur ce disque mais qui est bonne. Car vous l’aurez compris ce sont les claviers qui dominent sur cet opus. Le dernier titre ‘Calm’ débute avec une belle introduction guitare acoustique & violon et clôture très bien cet album. À souligner que la 2ème partie de l’album, la batterie est joué par Dave BANDANA. On ressent immédiatement une différence avec les 2 premiers titres.
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La musique de Birzer Bandana est accessible et bien dosé. Les moments forts de l’album que nous retrouvons avec le Mellotron, le violon et la guitare acoustique sont peut-être un peu affaibli par la batterie qui n’est pas aussi riche et dynamique que l’on voudrait. Mais vaut l’écoute assurément ! Vous pouvez visionner la vidéo de ‘View’ sur You Tube. https://www.youtube.com/watch?v=7-1KUmEgswo&feature=youtu.be
PISTES / TRACKS
1. Adrift (7:19)
2. The Void (13:57)
3. A View (8:52)
4. There (6:13)
5. There Again (4:53)
6. Yes (4:05)
7. Calm (7:47)
Musiciens / MUSICIANS :
- Dave Bandana / vocals, bass, guitars, drums, drum programming, synths, piano, organ, mellotron
With:
- Olga Kent / violin (1, 2, 3, 5, 7)
- Kenny Miller / acoustic guitar (1, 3, 5-7)
- Henri Strik / mellotron e-mu (2)
- Lily Miller / spoken word (5)