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CHRONIQUE / REVIEW

ann my guard

moira

ANN MY GUARD.jpg

Releases information

Release date: October 12, 2018

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: Painted Bass Records

From: Hongrie - Hungary

7,6

Alain Massard - November 2018

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Ann my Guard a débuté dans le monde musical en 2007. Elle a réussi à sortir quelques EPs, puis des Cds jusqu'au 3e et dernier album « Moira » en octobre de cette année : celui-ci est décrit comme le plus sombre du groupe avec mort, force invisible et monde mystique de l’au-delà au programme, les incarnations du destin Moira contrôlant le fil conducteur de chaque être humain jusqu’à la Mort elle-même! Au niveau influences, on remarque à l’écoute qu’on peut reconnaître si l’on tend bien l’oreille un peu de NIGHTWISH 2e mouture avec la voix d’Anette, du LACUNA COIL et du EVANESCENCE pour le son et les riffs, mais surtout la voix poussée, un tantinet haute de Dolores O'Riordan des CRANBERRIES! Tout ça pour dire qu’il faut s’attendre à du power métal, du métal-prog mélodique, un peu d’alternative et des sonorités ambiantes, mystiques, païennes et occultes assez loin du prog que l’on peut espérer entendre; allez découvrons un peu plus intimement ces compositions.

 

Tout d’abord une intro douce et chantée amenant à « Sacred I » pour un heavy métal prog à voix féminine puis à « Mountain II » avec un son métallique plus ancré et un break intimiste. « Elijah » rappelle à ce moment que la voix de Dolores nous manque, Ezster nous amenant à des sons très proches de ce que pouvait produire la défunte. « Roseblood » et « Metera » arrivent pour annoncer qu’on est aussi dans un univers prog avec la petite ballade douce suivie d’une atmosphère prog avec son spatial; c’est de toute beauté, mais ce sera à vous de vous en faire l’idée! « Echo » et « The Day I Die » surviennent avec un retour à un heavy métal prog, plus métal avec un rythme assez lourd avec passages plus intimistes, plus lancinants, presque mélancoliques. C’est à ce moment que « The Raven » nous parvient aux oreilles avec intro douce à la guitare puis cordes, piano et flûte nous ramenant à un folk médiéval du XVe siècle, une ballade douce posant le décor de « Morpheus » le titre final et enfin prog : une voix suave, envoutante, des instruments posés, des arrangements travaillés donnant un plus à l’album jusqu’à une fin en trompe l’œil avec blanc d’une 30ne de secondes et une reprise flutiste calme, apaisante certes mais coupant l’envolée du titre!

 

En définitive, si l’on retire les 2 titres en plein milieu de l’album et le dernier titre, on a affaire à du bon vieux métal power mélodique, et rien de prog à mon sens! En rajoutant ceux-ci, l’idée d’avoir un disque de heavy-métal prog peut alors prendre sens, mais c’est quand même assez juste pour tenir en haleine durant près de ¾ d’heures! Pour les fans de hard mélodique, c’est bien, pour ceux qui recherchent un peu de création prog, ce sera un peu juste dirais je à nouveau!

 

PISTES / TRACKS

 

  1. The Descent (0:40)

  2. Sacred I (3:43)

  3. Mountain II (5:48)

  4. Elijah (4:32)

  5. Roseblood (2:52)

  6. Metera (2:21)

  7. Echo (4:51)

  8. The Day I Die (4:09)

  9. The Raven (5:01)

  10. Morpheus (8:37)

Musiciens / MUSICIANS :

 

Eszter Anna Baumann : Vocals, bass, flute

Krisztian Varga : Guitar

Benjamin Barkanyi : Guitar

Nornert Tobola : Drums

with:

Peter Csontos : Cello

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