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CHRONIQUE / REVIEW

kepler ten

delta-v

Releases information

Release date: February 10, 2017

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: White Star Records

From: Royaume-Uni / UK

9,0

Denis Boisvert - April 2017

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

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Il y a des fois où en dit: ‘pour un premier album c’est pas mal bon’ et d’autres où on dit: ‘Wow’.  KEPLER TEN est définitivement dans cette dernière catégorie. Voici un album fait à la maison, qui a été soumis à une maison d’édition et qui tout à coup se retrouve dans Prog Magazine.  Un peu ‘découvert’ par John Mitchell (Lonely Robot entre autres) qui a mis la touche finale au mixage, ce trio est passé de faire des ‘covers’ de Rush à nous offrir du rock mélodique progressif dans la veine de ‘Dream Theater’. Tout semble à point, la composition, le lyrisme, le rythme, les soli de guitares solides, les pièces longues et intéressantes, la voix rock de DURAND, les arpeggios de basses, le clin d’œil science-fiction et le soutien des claviers.

 

Dès l’ouverture avec ‘Ultraviolet’ on embarque. Des sons de l’espace, un grand orgue en crescendo et une guitare ‘floydienne’, puis quelques accords de piano ‘Elton John’, la voix plaisante et expressive de Durand et soudain le rock galopant et la guitare démente. ‘Rushant’. On enchaîne avec l’excellent ‘Time and Tide’, originalement un ‘single’ qui est leur démo sur YOUTUBE. Un prélude de basse effrénée, une voix ‘effet spécial’ et encore la guitare qui déferle comme un orage. Du solide, dans le moule de HAKEN et RIVERSIDE.  Le morceau suivant ‘The Stone’ est plus rock accessible, moins prog mais accrochant. On fait ensuite la pause avec un morceau plus délicat ‘Swallowtail’ qui ouvre en guitare acoustique.  Une mélodie poignante et très bien rendue. La voix de DURAND captive encore et l’émotion est forte. On a même droit à un arrangement vocal très réussi. Huit très belles minutes. ‘The Shallows’ qui suit est plus noir et métal. Un ‘beat’ plus lourd et chargé. Mais la mélodie demeure et les claviers font un excellent travail. Un morceau très 1980. ‘In the Sera And Yellow’, est une référence Shakespearienne à la perception de la fin de sa vie. La pièce la plus courte et la moi remarquable à mon avis.  On ferme la marche avec ‘Red Skies Rise’ un morceau épique un peu space opéra avec ses clips audios mais un développement très intéressant, des passages synthétiques éthérés au milieu, une narration apocalyptique, une guitare solo superbe et bien dosée, une des meilleures pièces de l’album, un peu comme si on mariait PALLAS ET DREAM THEATER. Un leitmotiv envoûtant et un résultat très progressif. Le filon que j’espère qu’ils continueront de développer dans le futur.

 

Bref, un ‘power trio’ qui commence en lion. On remarquera leur capacité de passer d’une atmosphère une autre, de la tristesse à l’espoir sans problème. Le chanteur est très doué et le guitariste époustouflant. Chaque pièce est différente et est un testament de leur talent de compositeur.  Le batteur est très dans le coup mais les percussions manquent un peu de punch. On aurait aimé une ou deux pièces de plus. En somme un son original, surprenant et une addition bienvenue dans le rock progressif. Très certainement à suivre.

 

Musiciens / MUSICIANS :

 

James Durand - Vocals, Bass, Keyboards
Richie Cahill - Guitars, Synths, Bass Pedals
Steve Hales - Drums, Percussion, Keyboards

PISTES / TRACKS

 

1. Ultraviolet (9:41)

2. Time and Time (5:12)

3. The Stone (6:00)

4. Swallowtail (8:08)

5. The Shallows (6:11)

6. In The Sere And Yellow (4:45)

7. Red Skies Rise (10:52)

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