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CHRONIQUE / REVIEW

kaipa

Children of sounds

Releases information

Release date: September 22, 2017

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: Inside Out

From: Suède / Sweden

8,9

Marc Thibeault - September 2017

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Huitième album de la «nouvelle» mouture de KAÏPA depuis le début du siècle et cinquième sans la participation de Roine STOLT,  «Children Of The Sounds» est un album qui est dans la continuité des précédents, avec ses duos de chanteurs et un son un peu prévisible mais qui apporte toujours un petit quelque chose de différent à chaque pièce. Aleena GIBSON semble un peu plus en contrôle de sa voix, ce qui rend l’écoute un peu moins agaçant lorsqu’elle élève le ton en chantant. Les chants à l’unisson font penser à certaines bouts de chant du groupe YES et le son de la guitare basse de Jonas REINGOLD ressemble encore plus à celle du regretté Chris SQUIRE. La qualité musicale est au rendez-vous sur les cinq pièces de l’album!

 

«Children of the Sounds» débute l’album: un intro en douceur aux claviers de Hans LUNDIN et avec Aleena GIBSON en contrôle de sa voix. La pièce ressemble à certaines autres de leur répertoire mais on oublie rapidement cela une fois absorbé dans la musique. La guitare électrique de Per NILSSON est très STOLTiènne tout en gardant son style propre à lui. Il y a d’ailleurs beaucoup de guitare dans cette pièce, ce qui la rehausse d’un cran. La guitare basse de Jonas REINGOLD est discrète mais présente tout au long. Bonne pièce. «On The Edge of New Horizons» est une pièce un peu plus rythmée et chaleureuse. La guitare basse de M. REINGOLD est beaucoup plus présente et Morgan ÅGREN garde la cadence au long de la pièce pour les autres musiciens. J’aime les changements de styles et aussi les changements de sons qui embellissent la pièce: de guitare électrique à acoustique, du son de claviers habituel à celui d’un clavecin, etc. C’est la pièce la plus longue de l’album mais on passe à-travers en coup de vent! Il y a dans la pièce «Like A Serpentine» un air de mélancolie. La voix du chanteur est douce et elle est efficace à nous faire ressentir ses émotions aux bons endroits. Je n’enlève rien au talent de chanteuse d’Aleena GIBSON mais je pense que les meilleurs moments de cette pièce sont lorsqu’elle n’y chante pas seule. Encore ici la guitare électrique prend une place importante dans la pièce avec des soli joués avec émotion. Le violon d’Elin RUBINSZTEIN rajoute une petite touche agréable au tout.

   

L’intro et la finale au violon et guitare dans la pièce «The Shadowy Sunlight» détonne du reste de l’album. On revient ensuite à la «normale» des choses: Aleena GIBSON qui chante sur une musique qui augmente graduellement en prestance. Bonne, mais la plus faible des pièces de l’album. «What’s Behind The Fields» débute avec un son d’orgue vintage ainsi qu’un bon solo de guitare électrique. Vient ensuite un riff léger de guitare acoustique avec un peu de claviers au-travers pour accompagner Patrik LUNDSTRÖM. Les autres musiciens entrent graduellement dans la pièce, augmentant le crescendo jusqu’à ±6:00 dans la pièce. Puis on embarque dans un bout instrumental jusqu’à la fin. Belle finale pour un album!

 

J’ai aimé cet album d’un bout à l’autre quoi que j’y aie trouvé certaines ressemblances avec l’album «Keyholder» de 2003. Peut-être le son en général ou les structures des pièces y sont pour quelque chose. Néanmoins un très bon album à rajouter à votre collection!

 

PISTES / TRACKS

 

1. Children of the Sounds (11:31)

2. On The Edge of New Horizons (17:10)

3. Like A Serpentine (12:52)

4. The Shadowy Sunlight (6:57)

5. What’s Behind The Fields (9:31)

 

Musiciens / MUSICIANS :

 

Hans LUNDIN: Keyboards & vocals

Per NILSSON: Electric & acoustic guitars

Morgan ÅGREN: Drums

Jonas REINGOLD: Electric basses

Patrik LUNDSTRÖM: Vocals

Aleena GIBSON: Vocals

With:
Elin RUBINSZTEIN / Violin

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