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CHRONIQUE / REVIEW

das blaue palais

welt am draht

Releases information

Release date: September 12, 2016

Format: CD, Vinyl, Dig

Label: Bellerophon Records

From: Allemagne / Germany

7,8

Richard Hawey - March 2017

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

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Il y a quelques jours je vous présentais Jean D’Auberlaque (Jochen OBERLACK) avec l’album « The Durutti Columns » et je vous disais que ce monsieur avait plusieurs projets musicaux. Aujourd’hui voici DAS BLAUE PALAIS et l’album « Welt am Draht », qui peut se traduire littéralement en français par « La plupart des fils du monde », bon, il faut dire que mon allemand n’est pas développé. Cet album est le troisième sous cette appellation, et son style diffère de Jean D’auberlaque, disons moins progressif. Les deux premiers sont tout de même assez récents « Blauer Regen » est paru en mars 2016 tandis que « Himmelsgeister » est sorti en décembre 2015. Les compositions sont dans un style ambiant, électronique surtout avec une touche de krautrock et peu chanté. « Welt am Draht » est relativement court avec ses quarante minutes environ.

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Les deux premiers titres sont instrumentaux, on débute avec « Oberbilk 80 » mené par les claviers qui font vraiment années 80, de bonnes parties de guitare dans une rythmique contagieuse, c’est une entrée en matière accrocheuse. Suit « Gegenlicht » qui est dans la veine de la précédente avec une mélodie répétitive légèrement en retrait qui est rejoint par une montée sonore, ici pas de développement ou de solo, c’est le beat qui compte. « Himmelsgeister » est la version intégrale du vinyle sorti il y a deux ans, elle est chantée en allemand et le rythme est toujours au rendez-vous avec quelques effets sonores des claviers. « Silberwald » est introduit par des effets très galactiques des claviers et ceux-ci même le bal sur toute la pièce sans parole, j’ai bien aimé. La pièce titre « Welt am Draht » ne fait pas exception, on en démord pas, l’électronique est partout, ce titre me fait penser à du Kraftwerk très rythmé, nous donnant l’occasion de se taper sur la cuisse. « Zeitfeld » est le plus long morceau de l’album avec un peu plus de huit minutes. Il est lui aussi contagieux, il vous ramènera à cette époque où les groupe ont découvert tout ce qu’ils pouvaient faire avec les claviers et une bonne rythmique. Cet album se ferme avec « Blauer Regen », un titre court, qui suit la logique de ce qui a précédée avec une présence remarquée de la guitare en finale.

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Après avoir lu le texte ci-haut vous avez conclu que cet production n’a rien à voir avec le prog et vous avez raison. Mais ne rejeter rien tout de suite, Jochen OBERLACK, qui est un compositeur multi-facette, a décidé de publier sa musique et de l’offrir au monde. Personnellement je ne le connaissais pas et je ne crois pas qu’il était connu à l’extérieur de son pays natal. L’appréciation (note) que j’ai donné est reliée au plaisir que j’ai eu à découvrir sa musique, même si elle ne correspond pas au prog pur que nous admirons. Et je dois ajouter que quelquefois ça fait du bien d’écouter autre chose.

 

PISTES / TRACKS

 

  1. Oberbilk 80 (4 :03)

  2. Gegenlicht (5 :07)

  3. Himmelsgeister (5 :05) LP version

  4. Silberwald (5 :25)

  5. Welt am Draht (6 :19)

  6. Zeitfeld (8 :07)

  7. Blauer Regen (3 :48)

 

Musiciens / MUSICIANS :

 

Jochen Oberlack – All instruments and vocals

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