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CHRONIQUE / REVIEW

beyond the labyrinth

the art of resilience

Releases information

Release date: March 17, 2017

Format: CD

Label: Spinal Records

From: Belgique / Belgium

7,5

Martin Collard  - July 2017

TRANSLATED REVIEW (GOOGLE TRANSLATE) BELOW FRENCH TEXT !

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

BEYOND THE LABYRINTH est un groupe établi depuis 1996. Le groupe possède 4 albums dont leur petit dernier qui s’intitule “The Art of Resilience”. La formation donne dans le hard rock inspiré de groupe bien connus comme Y&T (Yesterday & Today), Uriah Heep et pour son côté progressif à Threshold avec un soupçon d’Arena. Le groupe est formé par Gert FIEUW à la direction musicale et à la six cordes, Michel LODDER derrière les fûts, de Sjoerd BRUYNEEL aux claviers et Dominic HEYNDERICKX à la basse. Pour cet opus, le groupe a invité plus d’une vingtaine d’artistes, ce qui donne plusieurs atmosphères différentes sur l’album.

 

“The Art of Resilience” débute avec ¨The Set Up (Innocence Presumed), d’entrée de jeu, nous remarquons que la pièce à la base est de fabrication progressive avec un aspect hard-rock avec un bon riff de guitare et très entrainante. Ça me fait penser un peu à du Arena plus vers les derniers albums. ¨Carry On¨ selon moi pourrait être le hit single de l’album. On pourrait facilement l’entendre à la radio et à noter qu’une vidéo a été créer en hommage à Wizz BEAUPREZ décédé en décembre 2016. Ça sonne comme du pop-rock qu’on pouvait entendre vers la fin des années 80. C’est bien fait. Vient ensuite ¨Someone Watching Over You est une power-ballad.  Avec un bel intro au piano et la voix d’Oliver WRIGHT (Celle que je préfère sur l’album) avec beaucoup de feeling qui donne un très beau résultat. Elle s’écoute bien avec des beaux moments de solo de guitare. Pour ¨Prince Of Darkness, un rythme plus saccadé avec une atmosphère de style Dracula par son chant lyrique. Moins dans le style Hard-Rock mais très belle. ¨Liberation Day¨ nous propose un ton plus mollo trop pop à la Mr. Mister. Probablement la moins forte de l’album. Suits ¨Shape Shifter¨ ressemble un peu à du Dream Theater dès le début de la pièce par le jeu de la batterie pour se calmer et qui se rapproche encore là d’Arena par le riff de la guitare et le chant. Une des bonnes pièces de ce disque. ¨Can’t Get Over You¨ étant fan de hard rock et de métal avant tout, l’introduction de la chanson me plait bien. Un rythme bien chaloupé, un vocal hargneux, les guitares électriques bien présentes. Cette pièce est ma favorite.

 

¨If You Believe¨ de catégorie pop-rock, avec beaucoup de synthétiseurs, cette pièce pourrait également passer à la radio. Le rythme est bon mais moins dans mes goûts. ¨Salve Mater¨ décidément, si BEYOND THE LABYRINTH voulait créer leur White Album (référence ici à l’album blanc des Beatles) ils ont réussi. Ici on a droit à quelque chose qui ressemble à du Deep Purple. Des orgues d’églises et un vocal s’apparentant à Ian Gillan. Fans de ce groupe phare des années 70’ vous allez être servi. ¨Fall Of The Raven¨ le genre de pièce qui pourrait se retrouver sur une trame sonore de science-fiction avec des dragons, des princes et des princesses. Entourée du Nox String Quartet un quatuor à corde qui vient rehausser la pièce et qui lui donne un certain charme. ¨Waiting For The Dawn¨ une ballade avec un vocal qui ressemble à Zackary STEVENS (ex-Savatage). Malgré la participation du Nox String Quartet, c’est le genre de titre qui aurait dû avoir un peu plus de feeling mais je n’ai pas accroché malheureusement. L’album se conclu avec ¨Virtual Connection¨ une bonne pièce semi ballade, semi-rock, semi-progressive pour conclure cet opus. C’est l’une des bonnes pièces de l’album.

 

En conclusion, BEYOND THE LABYRINTH ont fait paraître un album trop décousu. S’ils voulaient imiter les Beatles avec leur album blanc, ils ont atteint leur but mais pour l’auditeur, c’est plutôt pesant à écouter. Les styles de musique vont trop dans tous les sens. Il n’y a pas de ligne conductrice.  Ce n’est pas évident d’inviter plus de 20 artistes à participer à l’album et maintenir une bonne cohésion. Remarquez bien que ceci n’est strictement que mon opinion personnelle et que pour certaines personnes, je suis certain qu’ils vont y trouver leur compte !

 

PISTES / TRACKS

 

 1. The Set Up (Innocence Presumed) 5:57

 2. Carry On 3:48

 3. Someone Watching Over You 3:36

 4. Prince Of Darkness 5:21

 5. Liberation Day 3:25

 6. Shape Shifter 6:59

 7. Can’t Get Over You 3:59

 8. If You Believe 5:07

 9. Salve Mater 5:42

10. Fall Of The Raven 5:27

11. Waiting For The Dawn 5:30

12. Virtual Connection 4:58

 

Musiciens / MUSICIANS :

 

- Geert Fieuw - Guitar, Song Writing, Orchestration and Additional Keyboards, Backing Vocals

- Michel Lodder - Drums and Percussion

- Sjoerd Bruyneel - Keyboards, Song Writing, Backing Vocals

- Dominic Heynderickx – Bass

 

 

Guest :

Josey Hindrix (lv on tr. 1)

Will Beauprez (lv on tr. 2)

Oliver Wright (lv on tr. 3, 12)

Colin Flynn (lv on tr. 4, 10)

Geoffrey Tarallo (lv on tr. 5)

Tony Carlino (lv on tr. 6)

Chitral Somapala (lv on tr. 7)

David Reed Watson (lv on tr. 8)

Filip Lemmens (lv on tr. 9)

John Ferreira (lv on tr. 11)

Geert Annys (g & bv on tr. 2)

Erwin Suetens (g on tr. 2)

Tara Lynch (g on tr. 3, 7, 8)

Dushan Petrossi (g on tr. 10)

Brian Copp (g on tr. 11)

Bob Goo (b on tr. 8)

Tommi Manninen (d on tr. 8)

Nox String Quartet (st on tr. 4, 10, 11)

Louise Fieuw (bv on tr. 2 | ch on tr. 9)

Elena Fieuw (ch on tr. 9)

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