top of page

CHRONIQUE / REVIEW

abacus

european stories

Releases information

 

Date de Sortie / Release date:

27 may 2016

Format: Digital, CD, Vinyl

Label: Nu Music Green Tree Records

From: Allemagne / Germany

7,5

CHRONIQUE / REVIEW

CD

 

Formé en 1971, ABACUS perce grâce à un festival rock en Allemagne. Ils ont à leur actif treize albums. « European Stories » est leur quatorzième nouveau-né. L’album raconte les péripéties d’événements qui leur sont arrivés lors des tournées entre 2013 et 2016. À première vue, ABACUS sembla avoir voulu faire leur album blanc, tout comme les Beatles l’ont fait avant eux. C'est-à-dire que les atmosphères des chansons diffèrent énormément d’une pièce à l’autre. Ce n’est pas mauvais en tant que tel mais pour l’auditeur qui cherche un album avec une atmosphère qui uni un album, l’auditeur va devoir chercher autre chose.

 

L’album ouvre avec la pièce mid-tempo « Rome », si vous passez l’expression. Elle rappelle certaines chansons du vieux STYX des années 70 entremêlé d’une atmosphère à la Alan Parsons Project. Vient ensuite « Spanish Armada » dont une belle voix féminine présente l’introduction. La pièce est déjà plus tranquille en frais de rythme dont le « double-bass drum » en plein milieu rappellera un beat à la Amorphis qui se trouve à être un groupe Européen de Heavy Metal.

 

« Nancy Cathedral » semble être inspiré du groupe Ghost. Chanson mi-rock, mi-prog, mi-pop. Elle est difficile à définir. « Club De Marquis » sent le Yes des années 90. La cinquième pièce qui s’intitule « Kumperland Boogie », elle porte bien son titre car c’est un boogie à l’état pur joué au piano. Cette pièce semble être plus un interlude dans l’album qu’un morceau à part entière.

 

« Berlin » est un prog-rock à la Alan Parsons Project. Vient ensuite la meilleure pièce de l’album « European Tour Song ». Chanson bien séquencée, bien jouée avec même des backing vocals rappelant Jon Anderson de Yes. Cette pièce pourrait figurer comme étant le hit de l’album dont le groupe devrait en faire un vidéo clip. L’album ferme avec la semi-ballade « Gaelic Farewell » dont deux vocalistes se partagent le micro.

 

En résumé, c’est un bon album que les fans du groupe apprécieront. Il faut quand même retenir que cette production est un peu décousu par moment mais chacun peut y trouver son compte.

 

Musiciens / MUSICIANS :

 

Jürgen Wimpelberg: Keyboards, Guitar, Vocals
Patrick Pelzer: Lead Vocals
Norbert Hötger: Bass, Guitar
Marc Klemme: Lead Guitar
Gianmarco Moroder: Drums

PISTES / TRACKS

 

1. Rome (8:17)
2. Spanish Armada (10:10)
3. Nancy Cathedral (8:54)
4. Club de Marquee (10:05)
5. Kumperland Boogie * (4:25)
6. Berlin (5:05)
7. European Tour Song (5:31)
8. Gaelic Farewell (4:14)

* Bonustrack

 

Martin Collard - August 2016

bottom of page